Dispositif de discrimination

Tony revenait un énième fois au niveau 4 du Ministère pour parler avec Geoffrey le responsable du registre des loups-garous. Selon Tony, c’était une erreur de tenir un tel registre, c'était le début d'un dispositif de discrimination pour ces êtres, dont la plupart non même pas demander à devenir comme ça, pour ne pas dire tous d'ailleurs. Aprés évidement ceux qui se servait de ce "pouvoir" pour nuire aux autres devaient être mis en prison, mais tout autant que des sorciers ordinaires. Tony le voyait venir de loin, le moment où une fois ce registre en place, verrait la fin de la carrière d'hommes brillants, et d'enfants qui n'auraient pas de chance de trouver un bon métier dans la vie, à cause de leurs situations, même si ils ne sont que l'enfant d'un loup-garou.

Le sorcier était venu plusieurs fois au service pour savoir qui s'occuper de ce registre, il avait donc eu un nom Geoffrey Waldman. Il était donc venu plusieurs fois pour le rencontrer, mais à chaque fois, il n'était pas présent au bureau, Tony avait fini par contre que ce dernier l'éviter. Mais un matin, il réussit à obtenir un entretien avec Mr Waldman, et se rend donc à son bureau pour lui dire ce qu'il pense de son registre. Il a essayé de ne pas intervenir sur le sujet, aprés tout ce n'est pas son domaine d'expertise. Mais pour avoir vu ce que les hommes sont capables de faire aux autres hommes, durant la seconde guerre mondiale, que ça soit des moldus ou des sorciers, cela ne change rien. Tony ne peut pas laisser un registre comme celui-là voir le jour. Il avait déjà essayé d'en parler avec Norbert Dragonneau, mais ce dernier n'avait pas voulu entendre son message. Et il espérait que Waldman serait plus réceptif, même si au fond de lui, il ne doutait .

Il arriva au service des gestions des loups-garous, ça aussi c'était un peu discriminatoire, pourquoi ne pourraient-ils pas avoir le droit de se servir des ressources du Ministère sans devoir passer par ce service. Il prit une grande inspiration, et se présenta à l'hôte d’accueil qui le conduisit jusque dans le bureau du directeur, Geoffrey Waldman.
"Bonjour, Anthony Daiichi." fit Tony en tendant la main pour saluer son interlocuteur.

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.

Non mais on nageait en plein délire là. Depuis quand le bureau des Aurors se mêlait des autres services ? Qu’est ce que ça pouvait bien leur foutre ce qu’ils décidaient de faire ou de ne pas faire ? Geoffrey ne comprenait pas. Est-ce que lui allait leur dire comment faire pour botter le cul des mages noirs ? Non, d’a ucune façon. Alors il n’appréciait pas du tout qu’Anthony Daiichi veuille mettre son nez dans ses affaires. Il lui avait reçu de nombreuses requêtes de sa part pour qu’ils discutent. Mais Geoffrey n’avait rien à lui dire à celui-là, qu’il s’occupe de ses affaires, et lui foute la paix. De toute façon, il n’allait pas se gêner pour lui dire ce qu’il pensait de toute cette démarche. Vraiment, Geoffrey n’était pas content du tout.

De toute façon, il pourrait bien lui dire de ce qu’il voulait, cela ne changerait absolument pas les plans de Geoffrey pour son service. Ce n’était personne qui lui dirait quoi faire, et surtout pas un Auror. Qu’il s’occupe de ses dossiers, et s’il s’ennuyait, il n’avait qu’à aller faire du café ou de la paperasse, mais surtout, qu’il aille casser les pieds de quelqu’un d’autre. Geoffrey n’était pas forcément très agréable avec les autres en temps normal, mais là, il avait encore moins l’intention de l’être avec l’Auror. Surtout que Geoffrey avait beaucoup de travail, et ce genre de rendez-vous qu’il n’avait pas voulu, il s’en passerait mais alors très volontiers. Mais bon, il ne pouvait pas le renvoyer éternellement. Ce n’était pas le moment de créer des contentieux avec les Aurors, même s’ils n’avaient rien à foutre ici. Geoffrey n’en démordrait pas. Mais il n’avait pas vraiment le choix, il ne pouvait pas faire tout ce qu’il voulait, même s’il était directeur de son service. Il y en avait toujours qui étaient au-dessus de lui hiérarchiquement.

Il lisait tranquillement son rapport quand son « rendez-vous » débarqua dans son bureau. Geoffrey ne leva pas les yeux tout de suite vers lui, il n’était pas sa priorité après tout. Loin de là. Mais bon, il ne pouvait pas le virer de son bureau, bien malheureusement, il ne serait pas gêné de le faire sinon.

"Bonjour, Anthony Daiichi. "

Oui, oui… il était au courant. Et non, ce n’était pas un bonjour, parce qu’il lui faisait perdre son temps. Il regarda sa main légèrement, avant de faire l’immense effort de la serrer mollement.

« Bien, j’ai beaucoup de travail, alors allez droit au but je vous prie. »

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- Geoffrey Waldman -

Tony ne savait pas si il appréciait la franchise de Geoffrey mais son ton n'était pas trés bien vu. Il fronça les sourcils et se dit qu'il n'aurait pas gain de cause avec cet homme et que quoi qu'il dise, il ne changerait pas d'avis sur son registre des loups-garous. Mais pour la liberté de ces sorciers, bien qu'un légèrement différent, il devait au moins essayer. Car si le Mal gagne c'est parce que les gens de Bien ne font rien. Le sorcier s'avança dans la pièce, et lui serrant donc la main pour se présenter et le responsable de ce registre des loup-garous lui demanda directement ce qu'il voulait. Tony se redressa et se tenait droit devant lui, et ne s'assit même pas au bureau.
"Je suis là pour vous faire part de mon inquiétude vis à vis de votre registre sur les loups-garous. Qu'espérez-vous faire de ce registre?" demanda Tony.

Il était très inquiet de ce que certains pourraient faire de cette liste, qui pour lui était un dispositif de discrimination. Exactement comme les juifs ont été marqué par l'étoile Jaune, lors de la seconde guerre mondiale des moldus. D'abord, c'est la désignation, cela comme toujours comme ça, puis c'est la mise à l'écart, puis l'exportation, puis la concentration avant la destruction. Tony ne connaissait aucun loup-garou, mais il n'aimait pas cette façon de mettre les gens dans des cases, et de les mettre à part, c'était tout ce qu'il y a de moins juste dans la société. Il y avait déjà selon lui bien assez de discrimination dans la société des sorciers. Si on arrêtait pas les choses tout e suite, après un registre sur les loup-garous, ce sera ceux des cracmols, ensuite des nés-moldus, et rien ne pourra arrêter l'extermination de ce qui n'est pas "sorcier".

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Geoffrey se demandait toujours ce que cela pouvait bien lui faire à ce gugus qu’il fasse un registre où les loups-garous et lycanthropes seront répertoriés. Il avait peut-être de la famille loup-garou, mais même dans ce cas-là eh bien ce n’était pas ses affaires. Qu’il aille faire ses trucs d’Auror, Geoffrey n’avait rien demandé. Mais bon, apparemment il n’avait pas trop le choix et devait s’entretenir avec lui, ce n’est pas pour autant qu’il ferait un effort pour se montrer courtois ou qu’il répondrait à toutes ses questions, il n’avait pas que ça à faire. Il ne pouvait compter que moyennement sur Dragonneau en ce moment alors il fallait bien qu’il avance de son côté, sinon cela allait prendre plusieurs décennies avant que le projet ne décolle vraiment.

"Je suis là pour vous faire part de mon inquiétude vis à vis de votre registre sur les loups-garous. Qu'espérez-vous faire de ce registre?"

Merlin, mais personne ne lui demandait de s’inquiéter. Et puis en plus, il n’avait pas à se justifier. L’idée du registre avait été validée par ses supérieurs. Donc il n’avait besoin de l’avis de personne d’autre, et surtout pas d’un Auror qui visiblement s’ennuyait un peu trop dans son bureau et venait enquiquiner le reste du monde pour passer le temps. Dommage pour lui, ce jour-ci était un jour où Geoffrey n’avait absolument aucune patience. Alors il risquait de s’en mordre un peu les doigts. Bien entendu, Geoffrey ne se montrerait pas violent, il ne l’était pas du tout, mais il ne manquerait pas de lui dire ce qu’il pensait, et sans prendre de pincettes. Ah, il n’allait pas regretter d’être venu le voir celui-là. Il soupira agacé avant de le regarder avec dédain.

« Monsieur, personne ne vous demande de vous inquiéter. Ce que je fais en faire, ne vous regarde pas. Néanmoins, je suis très surpris de voir que les Aurors s’ennuient tellement dans le bureau qu’ils viennent m’importuner. Vous n’avez donc rien à faire ? Pourtant ce n’était pas comme si les rues étaient sûres. Mais peut-être que vous êtes trop incompétent pour aller sur le terrain, ce qui expliquerait pas mal de choses. »

black pumpkin

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- Geoffrey Waldman -

Tony n'aimait pas vraiment le ton de cet homme face à lui. Le sorcier était inquiet pour la suite des choses, l’inquiétude de ce que ce registre pourrait faire aux loups-garous, et aux sorciers. Il resta tout de même calme, cela ne servait donc rien de s'énerver contre lui. Mais quand même ce n'était guère agréable de s'entendre dire ce genre de choses. Mais comme cela ne le concernait pas, il n'avait pas besoin de ... se défendre lui-même.
"Je viens ... cordialement vous demander. Il serait bien dommage que je doive en parler avec votre supérieur pour que vous soyez obliger de me répondre." dit le sorcier avec un sourire entendu. Tony voulait ses réponses, et il ferait ce qu'il faut pour les obtenir. "Donc si vous pouviez y répondre, maintenant, cela sera plus simple pour vous. Alors je repose ma question. Que comptez-vous faire de ce registre?" termina Tony.

Tony de fixer le jeune homme pour obtenir sa réponse. Il se demandait si il y avait pris la mouche, parce qu'il savait que son registre n'était pas une bonne chose, même si c'est lui qui en avait eu l'idée. Ou alors si il n'appréciait pas qu'on le dérange dans son travail. Le sorcier se demandait ce qu'il ferait si l'un de ses collègues venait lui poser des questions, comment réagirait-il? Tout dépend sans doute de la façon dont il l'interpellerait. Tony ne pensait pas avoir manqué de respect envers Geoffrey, et ses questions étaient tout à fait légitimes. Donc cela vient d'une gêne de son travail vis à vis de ce qu'il fait. Si son travail lui plaisait tant, il serait sans doute ravi d'en parler, mais il faisait tout pour ne rien en dire, et cela ne venait pas de l'idée de taire un secret du ministère.
"Alors dites-moi qu'est-ce qu'il vous gêne dans ce registre?" demanda Tony qui se mit à prêcher le faux pour savoir le vrai.

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Les Aurors se croyaient vraiment tout permis, c’était grave là quand même. C’était quoi le truc ? Une nouvelle loi était passée qui donnait les pleins pouvoirs aux Aurors ? Il n’en avait pas entendu parler dans tous les cas, avec la dinde qu’ils avaient pour nouvelle ministre, il ne serait pas étonné. Comme si une femme était capable de diriger la société magique de manière réfléchie et convenable… déjà fallait-il qu’elles sachent diriger leur cuisine convenablement, ce serait une bonne chose.

"Je viens ... cordialement vous demander. Il serait bien dommage que je doive en parler avec votre supérieur pour que vous soyez obliger de me répondre."

C’est quoi ça ? Une menace ? Il pensait quoi au juste le petit monsieur là, qu’il allait trembler de peur de se faire taper sur les doigts et tout lui révéler ? Il était dans une autre dimension. Non seulement, ce serait totalement stupide d’aller déranger le directeur du département des créatures magiques pour quelque chose d’aussi futile, mais en plus, Anthony ressortirait bredouille, étant donné que le registre et le projet avaient été validés par son supérieur justement, et même par la hiérarchie supérieure. Et en plus de cela, Geoffrey ne supportait pas qu’on le menace d’une façon ou d’une autre.

"Donc si vous pouviez y répondre, maintenant, cela sera plus simple pour vous. Alors je repose ma question. Que comptez-vous faire de ce registre?"

Geoffrey avait envie de rire. Non pas que la situation l’amusait, elle l’emmerdait plus qu’autre chose parce qu’elle prenait sur son temps de travail. Mais parce que l’homme en face de lui se croyait vraiment en position de force. Mais il fallait bien qu’il comprenne, ce brave homme, qu’il n’avait absolument aucune raison d’être ici et d’exiger avoir des renseignements sur leur projet confidentiel. Mais ça, il n’arrivait pas à l’imprimer.

"Alors dites-moi qu'est-ce qu'il vous gêne dans ce registre?"

Geoffrey soupira, agacé par tout cela. Ce n’était pas un homme doté de beaucoup de patience, et il l’était déjà beaucoup selon lui. Mais bon, il prit sur lui pour ne pas paraître trop désagréable, et pour ne pas incendier cet homme. Ce n’était pas la peine de l’insulter ou de l’envoyer bouler trop sèchement parce que de toute façon, il ne semblait pas comprendre.

« Mais allez donc le déranger monsieur. Je suis sûr qu’il serait ravi d’être dérangé par Auror demandant des renseignements sur un sujet confidentiel qu’il a approuvé. Nous n’allons absolument rien faire de ce registre, c’est à titre informatif. Une forme de sécurité pour les loups-garous et les habitants. Et ce qui me gêne c’est qu’on m’empêche de travailler pour de la parlote totalement inutile. Et sachez bien monsieur, que la menace ne marche pas sur moi. Je n’apprécie pas vos méthodes. »

black pumpkin

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- Geoffrey Waldman -

Tony remarqua tout de suite que la "menace" qu'il faisait peser sur lui de plus plaisait pas, en même temps qui aimerait être menacé. Mais la façon dont il avait de justifier que son patron était au courant, et qu'il avait approuvé était assez marrante. Il se justifiait, croyant que cela dissuader Tony de se rendre auprès de son patron. Il avait tort d'autant plus que cet encouragement pouvait laisser croire qu'il le mettait au défi, et se serait dommage d'en arriver là. Tony gagnerait sur ce terrain-là, invoquant la sécurité de tous, il aurait accès à toutes les informations qu'il veut. Mais Geoffrey choisit de répondre partiellement à sa question. Alors à quoi bon se justifier de la sorte, c'était ... parler pour ne rien dire.

Tony décida de jouer franc-jeu avec lui, et de lui part de sa réelle inquiétude sur le sujet, sur ce registre.
"N'avez-vous pas peur qu'il ait une forme de discrimination. N'avez-vous pas entendu parler des juifs de la société moldue. Ils ont commencé par être sur une liste, avant qu'on commence à leur refuser du travail... puis de manière radicale, ils ont été éliminé. J'ai espoir que la communauté des sorciers soit plus évolué que les moldus, malheureusement la mentalité humaine me donne ... bien souvent tort." fit Tony. Il avait même envie de rajouter que c'était même pire chez les sorciers, parce que la magie les aidait à commettre des dommages encore plus grands, des dommages qu'ils se causaient les uns aux autres.

Tony ne s'excusa pas pour les menaces, ce sujet lui tenait particulièrement à cœur, sans vraiment savoir pourquoi d'ailleurs. Peut-être parce qu'il avait vu un de ses camps de concentration quand il pourchassait l'un des sbires de Grindelwald. En tout cas, si Geoffrey n'était pas capable de voir l'intérêt personnel de Tony, et qu'il avait eu une manière un peu brute mais désintéressé de la chose, c'est qu'il n'avait pas beaucoup de sens de l'observation.

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Geoffrey était plus qu’ennuyé à l’heure actuelle. Cet Anthony l’énervait grandement. Et puis, pour qui il se prenait avec ses menaces au juste ? Le statut d’Auror lui était monté à la tête probablement, ce n’était pas parce qu’il avait arrêté deux trois criminels qu’on allait ramper devant lui et lui donner tout ce qu’il voulait. De plus, il pouvait très bien aller voir son patron s’il le voulait, Geoffrey n’en avait clairement rien à faire, tout bonnement parce qu’il n’avait strictement rien à se reprocher. Il était dans ses droits, Anthony n’était personne pour demander à consulter des données confidentielles. Et Geoffrey savait pertinemment que son patron ne lui donnerait pas satisfaction de toute manière, Anthony n’avait d’ordre à donner à personne, et pas plus de droits que quelqu’un d’autre. Mais bon, de toute évidence, il avait un fort ego et avait besoin qu’on le remette à sa place, aucun souci, Geoffrey voulais bien s’en charger.

"N'avez-vous pas peur qu'il ait une forme de discrimination. N'avez-vous pas entendu parler des juifs de la société moldue. Ils ont commencé par être sur une liste, avant qu'on commence à leur refuser du travail... puis de manière radicale, ils ont été éliminé. J'ai espoir que la communauté des sorciers soit plus évolué que les moldus, malheureusement la mentalité humaine me donne ... bien souvent tort."

Mais qu’est-ce qu’il racontait au juste ? Ça n’avait aucun rapport avec les faits actuels. Oui, la guerre finie depuis quelques années avaient eu des motifs bien extrêmes, Geoffrey était d’accord sur ce point, mais il ne voyait pas ce que cela venait faire ici.

En fait, ce type était juste taré, ou bien complètement stupide. Il n’avait pas encore tranché. Mais quoiqu’il en soit, il n’allait pas se laisser faire. De toute façon, il avait assez perdu de temps comme ça avec les âneries de son interlocuteur, il avait du travail, et notamment en ce qui concernait ce fameux registre dont on lui rabâchait sans cesse les oreilles pour un oui ou pour un non.

« Vous savez Monsieur, je pense que ce dont vous avez besoin, ce n’est pas d’informations sur ce projet, mais d’une Encycloépédie ou vous pourrez apprendre le sens du mot confidentiel. Personne, je dis bien, personne, n’aura accès à cette liste, hormis moi, Monsieur Dragonneau, mon patron et la Ministre de la Magie. Je ne vois pas donc pas comment des employeurs pourraient apprendre que les hommes qu’ils paient sont des loups-garous, ni même le reste de la population. Maintenant, si vous avez mieux à faire que de me faire perdre mon temps j’en serai très heureux.»

black pumpkin

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- Geoffrey Waldman -

Tony trouvait ce registre, une belle connerie pour parler franchement, et il ne savait pas vraiment comment le faire comprendre aux gens pour que ce projet soit véritablement abandonné. En quoi, ce registre pourrait vraiment aider les loups-garous, qu'est-ce que cela pourrait faire que le Ministère sache ce qu'ils sont. Si un loup-garou a besoin d'aide, Ste Mangouste les guérisseurs sont là pour ça. Le Ministère, que ferait-il vraiment pour les aider? Il était tout de même clair, que Mr Waldman n'avait aucune envie de revenir sur son projet, et qu'il n'y aurait pas de négociation possible entre eux, du moins pour le moment.

L'auror soupira et se recula pour laisser Geoffrey passait, retournait à son travail, comme il semblait en avoir ardemment envie. Il n'avait guère envie de le déranger d'avantage pour aujourd'hui. Mais Tony avait tout de même appris une chose aujourd'hui. C'est que le nombre de personnes qui ont accès à ce registre sont déjà bien trop nombreuses, il y avait beaucoup trop de noms de personnes autorisé à lire cette liste. Personne, c'était Personne, or là, il y avait qu'en même quatre personnes. Qui ne dit pas qu'une de ses quatre ne seraient tenté par l'argent, un nom en échange d'une somme. Ou encore qu'on ne kidnapperait pas un petit garçon pour avoir cette information en échange.

"Retourner donc travailler, Mr Waldman" fit Tony avec le sourire, mais surement pas un sourire amical, mais celui d'une personne qui vient de comprendre tout un tas de choses, et qui semblait connaître un secret que personne ne sait. Aprés tout, ce registre n'était pas censé être confidentiel, et pourtant il était déjà au courant. Peut-être que c'est lui qui devrait revoir le sens de ce mot.

HJ : Je me rends compte que Tony met les gens sacrément en boule désolée^ Enfin j'espère que ça te va comme fin, on peut le poursuivre encore un peu si tu veux lui répondre.

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